Le cas avait ouvert une émission de fait divers d’une radio de la place : Une jeune femme a failli passer de vie à trépas en voyant ses ébats avec dermatologue qui l’avait entraîné il y a quelques mois dans son « cabinet » avant d’avoir des relations intimes avec elle. La jeune femme célibataire à l’époque, qui s’est mariée entre-temps, avait des boutons. Elle a pris rendez-vous avec le « médecin », qui se faisait aussi passer pour un policier à ses heures perdues et a payé 30 000 Fcfa pour la consultation. Jusqu’ici rien à signaler. Dans le « cabinet », M Diop lui demande de se mettre nue et d’enfiler juste un pagne. Elle ne se doute de rien et se laisse masser avec de la pommade. En fait il s’agissait d’un produit aux vertus aphrodisiaques. Lorsque M Diop commence à le caresser, elle le repousse une fois, deux fois puis à troisième tentative, elle cède. Les faits remontent à environ deux ans. Entre-temps, la jeune femme mariée tombe à la renverse en voyant ses ébats dans le site pornographique Seneporno. Elle dépose une plainte devant la Division des investigations criminelles (Dic).
Au cours de l’enquête, les limiers découvrent que M Diop est un individu vicieux qui aimait filmer ses ébats. Mais il ne semble pas être un maître chanteur. Il y a quelques temps, il a perdu son téléphone portable qui s’est retrouvé entre les mains d’autres personnes. Ce sont ces dernières qui auraient mis le film dans le site.
Ces suspects, de même que le propriétaire du site seneporno sont activement recherchés par la Dic qui a conduit M Diop devant le maître des poursuites hier.
(Source L’AS)
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