Le festival Koom-Koom appelé festival de la calebasse en référence à ce matériau traditionnel qui traverse notre existence africaine et qui fait l’objet d’intérêts multiples et de curiosités de la part de visiteurs, de chercheurs, d’experts, d’opérateurs et des populations, a débuté ce mardi 10 décembre 19 par un «Edictours» qui a regroupé des journalistes de différentes rédactions centrales et des correspondants régionaux du pays. Des pisses-copies qui ont mis à profit leur premier séjour en Casamance pour visiter le patrimoine culturel et cultuel de la région. Dans le département de Bignona, première étape de leur quête de savoir, «nous nous sommes rendus, pour ce premier voyage, successivement à Djimande et à Thionk-Essyl où nous avons rencontré les femmes du bois sacré qui nous ont beaucoup «averti» sur les réalités culturelles et cultuelles de la Casamance», explique la coordonnatrice de l’Edictours Maimouna Keita. Le festival Kom-Kom qui démarrer demain 11 décembre avant de prendre fin le 15 décembre 19 vit sa douzième édition. « Il est organisé dans le but de devenir un marché. Il va réunir des  Sénégalais, Maliens, Gambiens, Bissau-guinéens, Guinéens de Conakry, des Béninois et autres nationalités pour la promotion de leur patrimoine culturel et le tourisme», a soutenu Maimouna Keita